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Mon parcours

Le funéraire, une passion depuis petite

2018

Le Master de socio-anthropologie en poche, j'accède à mon rêve de petite fille : je commence ma première année de Doctorat et la rédaction d’une thèse en Anthropologie, sur une thématique qui m'interpelle particulièrement : les funérailles écologiques.

2020

Toujours en pleine rédaction de ma thèse, je commence à être contactée par différents organismes du secteur funéraire et affiliés pour mettre mon expertise à leur service.

Je décide de créer mon entreprise et de développer mon activité de consultante-intervenante indépendante. Une approche particulièrement enrichissante qui mêle la théorie et la pratique !

2019

J'ai l'occasion de passer le diplôme de Conseiller Funéraire, que j'obtiens après plusieurs semaines de formation pratique et théorique. L'opportunité d'accès à un terrain de recherche passionnant et de perspective d'emploi si l'envie se présente un jour. 

2006

J'ai 10 ans lorsque j'apprends le décès de mon père. De cette épreuve, je ressors intensément socialisée avec la mort, ce qui m'offre la force et une grande facilité à la côtoyer, à en parler et à l'étudier. 

2003

J'ai 7 ans, je veux être archéologue, et me spécialiser en égyptologie. Je sais déjà que l'étude des rites funéraires sera mon métier. 

2013

Première année d’étude supérieure. Avant de débuter mon parcours universitaire en anthropologie sur le funéraire, je décide de mon confronter au réel. J’obtiens un stage en Pompes Funèbres, qui ne fait que confirmer mes choix. Je réalise de nombreux autres stages en Pompes Funèbres et Crématorium au cours de mon cursus universitaire.

J'ai 12 ans, je feuillette un livre sur les métiers, et découvre celui d'anthropologue. C'est la révélation ! La définition correspond bien plus à mes envies, j'oublie l'archéologie au profit de cette nouvelle vocation.

J'affirme déjà à mes professeurs au collège que plus tard, je ferais un Doctorat d'Anthropologie sur les rites funéraires ! 

2008

1999

J'ai 3, ou peut-être 4 ans, lorsque que ma grande soeur me fait découvrir le Musée du Louvre. Un site majestueux dans lequel je fais la connaissance de la momie égyptienne qui y reposait.

De cette rencontre est né un intérêt particulier pour ce que l'on faisait aux morts, intérêt nourri par la même passion que mon grand-père portait lui aussi aux rites et croyances de l'Égypte Antique. 

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